Date de Publication | 16/07/2019 |
Espece | Cheval |
Catégorie | Actualité |
Suite à une recrudescence de cas de maladie de West-Nile, provoquée notamment par le réchauffement climatique et la mondialisation, la FEEVA (Federation of European Equine Veterinary Associations) recommande d’être vigilant à l’égard des premiers symptômes. Le laboratoire Boehringer Ingelheim soutient cette initiative et rappelle l’importance de la vaccination précoce des équidés. Rappelons que la maladie de West-Nile se manifeste principalement par de la fièvre et une baisse générale de l’état physique du cheval qui peuvent être associée à des symptômes nerveux (dépression, hyperexcitabilité…) ou neurologiques (ataxie, difficulté locomotrice, paralysie...). Soyez vigilants au comptoir face à de tels signes décrits par le propriétaire qui doit consulter en urgence le vétérinaire. Boehringer Ingelheim rappelle que son vaccin Proteq West Nile, qui contient le virus canarypox recombinant West-Nile, génére une immunité double chez le cheval (cellulaire et humorale). La primovaccination se fait en deux injections par voie intramusculaire dans l’encolure. La première injection est administrée à partir de l’âge de cinq mois et la seconde quatre à six semaines plus tard. La protection débute quatre semaines après la première injection et dure un an. Les chevaux doivent être revaccinés chaque année.
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