En 2018, la division Santé Animale de Boehringer Ingelheim (y compris ex Mérial) (184,4 M€) voit son niveau d’activité́ reculer de 1,7 %. « L’intégration de Merial est finalisée. Le groupe est désormais en ordre de marche pour s’attaquer au leadership mondial sur le marché́ des vaccins biologiques vétérinaires. Dans ce domaine, la valeur ajoutée de la France, moteur d’innovation, est évidente. En Europe, la France devient notamment un pôle unique de compétences du groupe pour la R&D et la production de vaccins pour l’animal », insiste Jean Scheftsik de Szolnok, président de Boehringer Ingelheim France. En santé animale, Boehringer Ingelheim doit faire face en France à un marché́ stagnant, tant pour les animaux de compagnie que d’élevage. « La baisse des ventes de notre gamme......

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...nces du groupe pour la R&D et la production de vaccins pour l’animal », insiste Jean Scheftsik de Szolnok, président de Boehringer Ingelheim France. En santé animale, Boehringer Ingelheim doit faire face en France à un marché́ stagnant, tant pour les animaux de compagnie que d’élevage. « La baisse des ventes de notre gamme FRONTLINE® n’a pas encore été́ compensée par la mise sur le marché́ de la prochaine génération d’antiparasitaires en comprimés », précise le président du groupe allemand. Au niveau mondial, Boehringer Ingelheim annonce un chiffre d’affaires consolidé de 17,5 milliards d’euros sur l’exercice 2018, clos le 31 décembre 2018, soit une hausse de 4 %, corrigée des effets de change et impacts non récurrents résultant de l’échange d’activités avec Sanofi en 2017. Sur la même période, le groupe affiche un résultat net de 2,1 milliards d’euros. En France, Boehringer Ingelheim réalise des performances plus contrastées. En 2018, le chiffre d’affaires consolidé du groupe s’établit à 420,7 M€, en légère progression de 1,4 % par rapport à 2017. La division Santé Humaine (236,3 M€) enregistre une progression de 3,2 %.